10 millions de téléspectateurs soit plus de 40% de part de marché pour la première diffusion de LE DIRLO en décembre 2003 ! TF1 remet le couvert ce soir à 20h55 en nous resservant ce « best seller » du téléfilm, réalisé par Patrick Volson et qui met à l’écran Jean Marie Bigard en directeur d’école primaire.

François (J.M Bigard) est un directeur impliqué qui tente d’affronter la tête haute et avec une pointe d’ironie les embûches liées à son métier : conflit avec l’inspection de l’académie qui tarde à nommer un instituteur à mi temps, instituteurs absents, contrôles de la mairie en matière de sécurité de l’établissement scolaire…Cerise sur le gâteau, son épouse Claire est nommée inspectrice de son école et devient donc en quelque sorte son supérieur hiérarchique. Un jour comme les autres, il surprend la jeune Lucie en train de voler la cagnotte de l’école ; c’est une élève difficile réfractaire à la discipline et qui refuse d’étudier. François décide de la prendre sous son aile…

En ces temps de rentrée scolaire, il y a fort à parier que l’audience de ce programme soit digne de sa première diffusion, sans parler de la grande popularité de Jean Marie Bigard qui s’essaie là dans un registre quelque peu différent de celui dans lequel on l’attend habituellement.

 

 (cop TF1)

Dans le cadre de l'année du Brésil célébrée en France depuis mars et ce jusqu'à fin décembre, France 3 rediffusera ce soir le magazine DES RACINES ET DES AILES spécial Brésil diffusé pour la première fois le 27 avril dernier.

C'est depuis le palais d'Itamaraty à Rio de Janeiro, magnifique palais de style néoclassique et siège du ministère des affaires étrangères brésilien, que l'émission est présentée.  Quatre reportages pour nous faire découvrir ce magnifique, surprenant et immense pays (le plus grand d'Amérique du Sud) :

-La France à Rio : rappel de l'arrivée en 1555 de l'amiral français Nicolas de Villegagnon et fondation de la première colonie dans la baie de Guanabara.

-Salvador la métisse : la ville "symbole" de la culture noire

-Pays de l'or et du café : à la découverte des immenses richesses naturelles du pays dans la région du Minas Gerais où se situent les mines d'or découvertes au 18ème siècle par des aventuriers

-Belem, aux portes de l'Amazonie : fondée en 1616 par les portuguais, Belem compte aujourd'hui 1.5 millions d'habitants. Elle a connu son essor grâce au commerce du caoutchouc à la fin du 19ème siècle...

A ne pas rater pour les aventuriers en herbe, les amateurs d'ethnologie, d'histoire, ou même encore pour les amoureux de beaux paysages.

Nelson Monfort , la mascotte des commentateurs sportifs, devrait s’essayer à la chanson sur la scène du Petit Montparnasse pour un soir en Novembre. Il sera accompagné de ses amis Michel Dhrey, Gérard Holtz et Pierre Sled, pour des prestations individuelles (instrument+chant) et un final en commun. Nelson devrait jouer de la guitare et avoue qu’il affectionne tout particulièrement le répertoire de Frank Sinatra. C’est qu’il sait bien cacher son jeu notre Nelson national…

 L’amour est dans le pré est la nouvelle émission proposée par M6 dès le 8 septembre. Le concept : 10 agriculteurs célibataires (vignerons, céréaliers, éleveurs de moutons…) se dévoilent devant les caméras pour trouver l’âme sœur parmi les téléspectateurs qui pourront alors écrire à celui ou à celle qu'ils voudront rencontrer. Les candidats agriculteurs devront alors à leur tour choisir celui ou celle qu'ils acceptent de rencontrer ; la série suivra alors leur rencontre et leur tentative de vie commune tout au long des cinq épisodes. Quand la télé prend le relais des agences matrimoniales…Rires et situations cocasses en perspective !

 

Docu fiction sur le 11 septembre 2001 : encore un docu-fiction, cette fois ci sur France 3 le 12 septembre à 20h50 qui s’intitulera « 11 Septembre, les révoltés du vol 93 ». Plus de détails prochainement sur Actu TV.

 

Patrick de Carolis a pris officiellement le siège de Marc Tessier à la tête de France Télévisions ce lundi et a nommé dans la foulée ses deux directeurs généraux : Patrice Duhamel, chargé des antennes, du dévellopement et de la diversification et Thierry Bert chargé de la gestion. De Carolis a salué le bilan de son prédécesseur.

Le programme TV de ce soir en PRIME TIME :

 

 

   LE DIRLO                                       20h55  

 

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    FBI, portés disparus                         20h50

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   Des racines et des ailes                      20h55

 

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    Buffalo soldiers                  20h55

 

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   Bras de fer diplomatique à Moscou    20h50

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  Planète Terre                                     20h50

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    Bien agités !                              20H50

 

 

C’est un étonnant reportage que nous a proposé France 5 en ce mardi soir : Volontaires oui, cobayes non ! Le thème abordé, la recherche médicale sur des êtres humains sains, reste peu connu du grand public et médiatiquement rarement abordé.

Le problème éthique lié à ce type de recherches est abordé en début de documentaire, notamment par le rappel des évènements de la deuxième guerre mondiale et des innommables expériences qui furent conduites par les médecins allemands. C’est le premier pas vers une régularisation des recherches sur « cobayes humains » avec l’établissement du Code de Nuremberg. Ce n’est que bien plus tard, en 1988, que la France adoptera une législation spécifique plus stricte dans le but d’éviter les dérives en ce domaine par le biais de la loi Huriet dont un des grands bouleversements est la limitation de la participation individuelle à ces recherches (3800 Euros maxi d’indemnisation maxi par personne).

Le documentaire montre plusieurs volontaires participant à ces recherches et cherche à savoir l’origine de leurs motivations. L’ampleur des recherches qui nous sont montrés va crescendo jusqu’au moment fort : l’expérience de quatre mois consécutifs dont trois pendant lesquels les volontaires doivent rester alités la tête plus bas que les jambes ! Ils toucheront 11000 euros versés sur trois ans pour satisfaire les contraintes imposées par la loi Huriet.

 

Tous les volontaires à cette incroyable expérience évoque l’aspect financier comme motivation principale ; c’est là que le documentaire ne va pas assez loin et on reste perplexe quant à l’éthique de ces pratiques, car effectivement toues ces personnes sont « volontaires », mais la détresse financière ne prend elle pas ici le dessus sur le libre arbitre ? Et que veut dire « volontaire » quand seule la carotte tendue au bout de cette longue période de quatre mois importe ? Plutôt que volontaire, on pourrait dire « Informés et résignés »…